20 septembre 2014

Ulan Bator, entre ville, moto, steppes et ambassade chinoise ...

14/09/2104
Je ferai le trajet depuis la Russie jusqu'a Ulan Bator en Bus, passant la frontiere de jour sans problemes.
Sur la Route depuis la Russie
Sur la Route depuis la Russie
Frontiere Russie - Mongolie
L'arrivee a Ulan Bator en bus se fera en plein milieu des bouchons du soir. En arrivant dans la ville, on peut voir une quantite impressionante de petits magasins creant une sorte de desordre et au loin de grands cheminees qui crachent en permanence d'epais nuages de fumee.
Des la sortie du bus, des femmes nous entourent pour nous donner toute sorte de proscpetus pour des hotels et tours organises. Moi, je n'ai rien reserve et du coup, je choisis d'aller dans la meme auberge que Coralie, une francaise qui etait dans le bus et qui en a trouve une pas loin et pas cher. Bien sur, on aura le plus grand mal du monde a la trouver, la nuit est tombee tres rapidement et les rues de Ulan Bator sont loin d'etre un exemple de clarete. Au final, on demandera a plusieurs personnes en tournant en rond jusqu'a ce qu'un jeune homme nous propose d'appeler l'auberge avec son portable et de nous y amener directement en voiture. Ce premier contact avec les mongols dans la rue est une vraie bonne surprise, ici les gens sont vraiment gentils et tous n'ont pas hesite a nous aider du mieux qu'ils pouvaient.
Mongolian Department Store, le centre commercial reference d'Ulan Bator
15/09
Le lundi sera consacre a l'administratif, je changerai d'auberge pour aller dans une plus grande et ou j'aurai plus de chances de rencontrer d'autres voyageurs pour organiser une expedition.
Je rejoindrai plus tard Coralie pour aller chercher les documents a l'ambassade de Chine puis on ira faire nos fausses reservations de billets d'avion necessaires pour le visa chinois. Pour cela, rien de plus simple. A Ulan Bator, une compagnie d'agences de voyages appelees Air Market vous fait des fausses reservations pour des vols entrant et sortant de Chine sans que l'on doive payer la moindre prestation. C'est vraiment marrant de le faire car c'est de vraies places et horaires d'avion qui sont utilises mais il n'y a aucun paiement. La combine est connue de tous les voyageurs qui se passent le mot sur internet.
Une des agences de voyage ou l'on peut demander de fausses reservations d'avion
16/09
La veille, l'hote de Coralie qui dort en couchsurfing lui a propose d'aller faire un tour en moto et me l'a propose aussi, plus on est de fous, plus on rit apres tout.
Je me suis leve tot pour avoir le temps de prendre mon petit dej et etre pret a 8h45 pour aller chercher les motos.
Les motos sont entreposees dans un grand container
Coralie, Lena et Jason viennent me chercher puis on va sur l’avenue principale pour trouver une voiture qui nous amenera jusqu’a la location de motos, en dehors de la ville vers l’aeroport. Il ne nous faudrra que 30sec pour trouver ; juste devant nous, une voitures s’arrete, trois personnes en descendent et on pourra ensuite demander si le conducteur peut nous amener. Il a clairement l’air de faire ca tres regulierement et il prendra meme la peine de telephoner a la gerante des locations pour etre sur de trouver le bon endroit. Le prix d’un “taxi” prive est de 800 Tugriks/km, on s’en sort donc pour environ 5 000 tugriks par personne (env. 2E)
Circuler dans et autour de la capitale est vraiment loin d'etre facile, meme pour les locaux !
La location des motos est en fait une maison ou, dans un container, sont rangees une trentaine de motos et le bureau est dans une yourte.
On mettra une bonne dizaine de minutes pour faire comprendre que l’on veut deux motos et pour avoir une carte pour se rendre a la grande statue de Ghengis Khan. Il nous faudra ensuite essayer les motos pour verifier qu’elles roulent. Ce sont des mustang 150cc, des motos chinoises qui se sont imposees en mongolie et qui, a l’instar des vans Watz russes, sont connues de tous et que l’on pourra faire reparer n’importe ou dans les steppes au cas ou.


Alors, c'est qui le biker version mongolie :)
Mustang XY 150cc, attention les yeux ;)
Des le depart je rigole car en fait la moto demarre tres tres mal et ne tient pas du tout le ralenti et lorsque je pars l’essayer, je m’apercois que le frein avant est presque totalement inneficace mais le loueur ne voit pas ou est le probleme et m’explique que de toute facon il ne sert a rien et que le frein arriere fonctionne, okay !
On choisit nos casques, avec visieres de preference pour la poussiere et la polution, il n’y en a que 3 qui ne sont pas horriblement trop elargis par la tete des clients precedents, j’en prendrai donc un sans visiere et utiliserai mes lunettes de soleil.
L'immense statue de Genghis Khan
Une fois que tout est pret, nous voila partis, Jason et Lena sur une moto, Coralie et moi sur la deuxieme. Le probleme est que l’on ne sait pas vraiment la direction et que le papy de la location ne nous l'expliquait pas tres bien. On s’arretera donc rapidement pour demander a une voiture qui nous dit de la suivre, commencera donc une sorte de course poursuite entre les voitures sur la voie rapide toute neuve autour de Ulan Bator. Les motos ne sont pas tres puissantes mais suffisent a rouler a environ 100km/h au lieu des 50 indiques sur les panneaux (le compteur kilometrique est casse sur les deux motos).

La voiture nous laissera a une bifurcation et nous dira de continuer toujours tout droit. On roulera sur la voie rapide pres d’une demi heure, slalomant entre voitures et camions, essayant de ne pas trop respirer les gaz d’echappement et avec quelques virages pour se faire un tout petit peu plaisir avec la moto. Ensuite, ce sera une tres grande ligne droite pour entrer dans les steppes, on demandera la route plusieurs fois mais au detour d’une bosse, on commence a apercevoir le casque de la statue geante ; on est enfin arrives.
Un projet de recreer une armee de statues des soldats de Genghis Khan est en cours. Les statues formeront un cercle immense espacees de centaines de kilometres entre elles.
La statue est construite a une soixantaine de km de Ulan Bator sur un colline et consiste en une representation de Ghenghis khan sur un cheval pour une hauteur totale de 40m de haut et posee sur un grand socle abritant un musee sur l’histoire du conquerant.
En soit, je ne pense pas que la statue merite le deplacement juste pour elle, a moins de s’interesser a l’histoire du guerrier. On ne restera donc pas tres longtemps, le temps pour les filles de s’essayer aux motos mais elles ne sont clairement pas les plus faciles pour debuter. Apres un pique-nique de nourriture indienne, on se lancera a travers les steppes en suivant les sentiers qui nous plaisent.
Un campement de yourte uniquement pour les touristes. En general autour de 5E/nuit
Les motos se revelent tres confortables malgres les secousses des chemins a travers plaines et collines, on croise de temps en temps un troupeau de vaches ou de chevres qui n’ont la plupart du temp rien a faire de nous et se poussent a peine du milieu de la route, meme pas effrayees par les moteurs; il faut dire que c’est quand meme nous qui venont les emmerder dans leurs paturages.
On s’etonne rapidement de voir autant de barrieres dans les steppes alors que des fois il n’y a strictement rien a l’interieur des enclos, ils ne sont meme pas fait pour les animaux, juste pour delimiter un terrain prive dans les steppes.
On arrivera en haut d’une premiere colline avec une vue magnifique, l’occasion aussi de faire connaissance avec Peter, le crane de cheval qui nous a accueillit la haut. On attendra un peu Jason et Lena, qui en fait sont tombes dans les ornieres du chemin, Lena conduisait et ce n’est pas facile de maitriser le poids de la moto avec un passager, heureusement une tres petite chute.
On continuera de rouler dans les steppes l’apres-midi, choisissant la route au gres des chemins qui se croisent, si une riviere bloque le passage, on la contourne, les montagnes ne sont pas hautes et se montent bien avec les motos. C’est vraiment hyper pratique d’avoir les motos, on peut aller ou on veut et s’arreter ou on veut, avec un bus ou un mini van, ce serait plus complique. 
On est pas bien la ?!
Sur le chemin du retour, on passera pres de yourtes et ce sera l’occasion de tester la reaction des chiens de garde. On nous avait prevenu qu’ils prennaient leur role tres au serieux et qu’il fallait etre prudent tant que les proprietaires ne les attachaient pas en vous voyant. Au final ils restaient a deux metres des motos mais vu que la mienne calait tout le temps au mauvais moment, on s’est quant meme fait de petites frayeurs. En fin d’apres-midi, la fraicheur commencait a tomber et il nous fallait rentrer, on s’arretera mettre de l’essence qui a moins de 50cts d’euros le litre ne plombera pas le budget de la journee,
Notre pote Peter, on l'a quand meme remis a sa place au bord de la route.
Le retour par la voie rapide fut encore plus dur que l’aller a cause des voitures plus nombreuses, on doublera en permanence beaucoup de camions et de voitures, respirant beaucoup de gaz d’echappement, ce sera un slalom permanent. Ce qui fut marrant, c’est que sur la voie rapide, il y a des passages pietons avec feux rouges et parfois un policier pour faire la circulation mais des le premier, je me ferai engeuler parce que je me suis arrete au feu rouge mais tout le monde le grillait et le flic me sifflera dessus pour que je le grille aussi, un comble.
L'avantage de la moto est de pouvoir s'arreter ou et quand l'on veut.
Avant de rendre les motos, on en profitera pour grimper une petite colline et apprecier la vue sur la ville polluee. Ulan Bator est pendant l’hiver la ville la plus polluee du monde a cause des voitures mais surtout a cause du chauffage au charbon qui englobe toute la ville. Lorsque l’on arrive a Ulan Bator, il est impossible de ne pas voir les usines de production d’electricite au charbon, elles degagent une fumee permanente de leurs cheminees et les enormes batiments sont presque en plein coeur de la ville.
La vue depuis cette colline nous laisse aussi bien voir le developpement urbain de la ville, on voit que la ville est dans une vallee et que sur les collines qui l’entourent, maisons et yourtes s’agglutinent a flan de colline jusqu’a ce qu’il ne soit plus possibile de construire. De son cote, le centre-ville se voit ajouter toujours plus d’immeubles, pas beaucoup de tres haut mais on en voit clairement depasser les autres.
Se ballader dans les steppes, c'est aussi suivre des routes parfois bien tracees, parfois totalement inexistantes
Pour le retour, apres avoir laisse les motos, comme a l’aller, on demandera a la premiere voiture qui passe si elle peut nous ramener dans le centre et pour moins de 20 000 tugriks, la jeune femme acceptera. Neanmoins, a 18h, on sera pris en plein dans les embouteillages, c’est vraiment fou a vivre. Les voitures se touchent litteralement, tout le monde force le passage et a chaque redemarrage, il faut coller la voiture de devant pour avancer. Le pire fut l’entree dans la ville par un pont qui reduit les voies de quatres a deux ; la, les voitures forment litteralement un entonoir ou tout le monde klaxonne, chacun force le passage sans se soucier des autres, c’est vraiment fou et on mettra presque deux fois plus longtemps que le matin pour rentrer depuis l’aeroport.
L'equipe de choc, une belle journee de moto.
Le soir, on commence a vraiment avoir faim et on decide de faire des crepes chez Jason. Ce sera l’occasion de rencontrer son amie Odgerel, Mongole qui habite a Ulan Bator et qui nous proposera le plus gentillement du monde de nous aider a trouver des familles chez qui passer quelques jours dans les steppes. Elle parle un excellent francais et fut guide, son aide est incroyable pour nous.
La circulation est un tel bordel a certaines heures que ce sont les policiers qui remplacent les feux tricolores.
17/09
Le reveil a 6h15 du matin ne fut pas facile apres la journee de moto et s’etre couche a 1h. Mais il fallait que je me leve tot si je voulais profiter du super petit dej de l’auberge avant de rejoindre Coralie a 7h devant l’ambassade de Chine.
Le depot des dossiers de visas ne se fait que les lundi, mercredi et vendredi matins et on nous avait conseille d’y aller tot pour etre dans les premiers. On y est donc alles 2h30 avant l’ouverture mais en fait, il n’y avait que des mongols deja la et il suffisait d’inscrire son nom sur une feuille sur la porte pour marquer son ordre d’arrivee. On passera donc les deux heures suivantes a attendre. A 9h, il y a plus de monde et plus de touristes et quand la porte s’ouvre a 9h30, ils font rentrer dans l’ordre de la liste mais quand c’est notre tour, le garde nous fait signe d’attendre, on se dit qu’il y a un guichet pour les locaux et un pour les touristes. On pourra rentrer quelques minutes plus tard et on nous dirige vers un deuxieme guichet. 
La, on attendra un bon quart d’heure tous en ligne alors qu’il n’y a personne au guichet. En fait le guichet est ferme mais aucun employe chinois ne nous l’aurait dit, ils nous regardaient en souriant. On decidera donc d’aller dans la file des locaux et apres pres d’une heure d’attente au total, on pourra donner notre dossier. Bien sur, la plupart des infos sont bidon, les reservations des billets d’avion d’entree et sortie de chine proviennent du air market et ma reservation de quelques nuits dans une auberge a Pekin sera annulee des que j’aurai mon visa. L’employee ne s’etonne bien sur pas que je prenne un avion aller’retour Ulan Bator - Pekin alors que les tampons sur mon passeport montrent que je prends que le train et le bus depuis des mois, ni du fait que j’ai une reservation de seulement trois jours dans une auberge pour un visa de 30 jours.
Au final, elle regardera a peine les papiers et apres m’avoir seulement demande pourquoi je vais en Chine, ce a quoi je reponds tourisme, elle tamponne les papiers et me libere en me disant de revenir chercher le visa lundi prochain. C’est vraiment du rapide et releve clairement de la simple procedure de faire une demande, un peu etonnant apres le visa russe mais au moins maintenant c’est fait et je peux me consacrer a la Mongolie.
Le centre-ville d'Ulan Bator et ses immeubles toujours plus modernes
Le parlement mongol
Le theatre qui malgre sa couleur se fait tout petit a cote des immeubles immenses qui poussent autour de lui.
En Mongolie, on croise tres regulierement des gens avec des habits traditionnels, cela fait vraiment plaisir vu comme c'est de plus en plus rare dans le monde.
Au black market, il est possible d'acheter tout et n'importe quoi dont on peut avoir besoin dans la yourte, y compris une yourte en entier. Ici, la structure avec toit et porte, plus loin les toiles exterieures ou encore le poele ou les meubles.
Le centre-ville et la place Sukhbaatar
On rejoint ensuite Lena et Odgerel pour aller a la gare routiere acheter le ticket de bus des filles qui vont aller passer une semaine dans une famille au nord puis on va faire un tour dans un marche pour voir si on trouve des vetements d’hiver. Pour y aller et revenir dans le centre, on prendra un bus public qui ne coute que 500 Tugriks, soit a peine 20cts par trajet mais il secoue vachement dans le traffic. On ira se poser dans un lieu assez intrigant dans la ville, il s’agit du grand parc au sud qui comprend un parc d’attraction, c’est bizarre de voir toutes ces installations dans la ville et surtout de se trouver dans un lieu aussi calme dans Ulan Bator. Le parc n’est pas loin de la rue principale mais on n’entend presque pas les voitures, c’est vraiment agreable et a apprecier dans une ville comme UB.
Le parc d'attraction au sud du centre-ville qui risque de disparaitre au profit d'immeubles toujours plus nombreux.
Ogdere m’a propose d’aller passer quelques jours dans une famille qu’elle connait dans le centre du pays et qui eleve des yaks. Du coup je passerai la soiree a etudier la region et comment preparer ces quelques jours.
Les bus longue distance sont equipes d'un systeme d'aeration avec d'immenses tuyaux qu'il faut reboucher quand on roule dans les chemins pour eviter que la poussiere rentre dans le bus.
Les mini-bus ne partent que lorsqu'ils sont completement remplis de passagers et/ou de bagages. Cela inclut aussi le toit bien sur.
Je quitterai la ville pour aller passer quelques jours dans une famille d'eleveurs de yaks au milieu des steppes, pour voir cet article, cliquez   ICI

Retour a Ulan Bator
Tout autour du centre-ville, on retrouve des quartiers remplis de yourtes ou de maisons pas tres grandes ni en dur. Un fort contraste avec les immeubles toujours plus modernes du centre-ville,
Les quartiers autour du centre-ville sont beaucoup moins glorieux que les immeubles du centre et pourtant un nombre enorme de personnes y vivent.
25/09
Le soir, je vais chez Ankhaa a qui je propose a Coralie de venir aussi car il veut parler anglais et voir des touristes, du coup c’est encore mieux pour lui.
Il habite avec sa femme juste a la sortie du centre, pas loin a pied dans un des nombreux batiments en construction a UB. L’appartement est vriament moderne et occidental, ca fait vraiment bizarre de voir ca en mongolie, surtout apres les nuits dans la yourte en mongolie.
On discutera avec sa femme tout en faisant des Buuz tous ensemble, c’est vraiment bien de pouvoir cuisiner avec eux. Ce sera l’occasion aussi de decouvrir le lait de jument fermente qui est juste l’un des pires breuvages que je n’ai jamais eu l’occasion de boire.


Les buuz sont foures avec un melange de viande de mouton, du gras et un tout petit peu d'assaisonnement.
Il n'y a pas forcement de forme typique pour les Buuz mais on recnnait bien ceux que j'ai refeme qui ne ressemblent a rien.
On discutera beaucoup de la difference entre France et mongolie, ils voulaient savoir beaucoup sur le style de vie des jeunes francias et du coup c’etait interessant de pouvoir leur parler a la fois de la campagne de St Etienne et Coralie qui pouvait leur expliquer la vie a Paris, du coup cela leur donnait un 
bon apercu. C’etait interessant aussi car ils sont originaires de la steppe a l’est de UB et lui est maintenant banquier, interessant de voir l’evolution de la societe mongole a treavers l’exemple tres concret d’une famille.
Les premieres neiges obligent le black market a se transformer mais les vendeurs sont tonjours presents malgre le froid.
Le 26 au matin, on a la belle surprise de voir qu'il neige dehors et qu'a priori cela n'a pas l'air de vouloir s'arreter tout de suite. Peu importe, je repars ensuit pour un deuxieme sejour dans les steppes, pour suivre la suite du voyage dans une famille d'eleveurs, cliquez   ICI

Dernier retour a Ulan Bator

De retour de ce super sejour dans une famille d'eleveurs, je passe deux nuits dans la capitale, le temps d'acheter le billet de train pour la Chine et de visiter un temple en dehors de la ville.
Le temple est celebre pour ses enormes statues taillees directement dans les blocs de granit sur place. Ils ont chacun une symbolique et les offrandes correspondent a un voeux specifique.
Le temple, situe sur une montagne et dominant la vallee.
Le temple est connu pour les legendes sur les animaux deformes, 
on peut meme y voir des chevres vivantes avec 4 cornes !
Oui Oui, 4 cornes ! et je certifie qu'elles sont vraies !
Le temple dans le centre-ville d'Ulan Bator
Le temple dans le centre-ville d'Ulan Bator

Passee la frontiere mongole, on doit changer tous les essieux du train pour pouvoir rouler en Chine, cela en plein milieu de la nuit.
Le wagon restaurant du train jusqu'a la frontiere chinoise
Pour voir la suite du voyage en Chine et la fin du periple a bord du transsMongolien, cliquez   ICI

Photos & videos d'Ulan Bator :

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